Once upon a time 21012004

A cette idée immorale de n’être plus que ton ombre rougissante.

Drame conjugué en cour martienne
D’or robe-seins brillante
en cache-misère à l’arrière des Delphine(s)
ça arrangue les hommards au sous-rire des belles mains.

Qu’en autant ont compris qu’ils, rats, comptent les leçons
aux plaies ; Isir essaie les rats dits de Sion.
Rongeurs vengeurs s’arment ô ma larme est flamboyante.
Scindée jusqu’à l’exemple, erre.

On comprend quand ça cesse sans cesse mais où est-ce ?
ça bless l’amer Ica et ça s’arrête au squelette du poisson.
Où est-ce la vie, Nat alitée ?
Un bal con, come sweet homme, mâle Virgile y s’est plongé.

Tout au tu à deux l’un me re-garde dans sa tête
quand l’autre à l’autre rat conte ses misères.
J’ai des dents, un triste état de droit pour dérober tel spectacle
de des deux déments amants dérangés dont doute ne peut subsister.

Capricieux jus pue à l’observer, dés et heurts,
au regard, cent pareil au sien cyan
si l’un con, pagne éhonté, ne lui aussi me devis âgé.
Ce n’est sons de queue, ou de mots pour tant et autant

qu’île de nains pique sept cités de Sion :
« à cette idée immorale de n’être plus que ton ombre rougissante
je soustrais l’envie séduisante de paraître. »

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