Juste histoire de… 06122004

Les coups font souffrir
et le sang de jaillir des entailles
on peut hurler, et les autres peuvent m’entendre
si ce n’est pas toi que je touche
pas toi qui m’écoute, à quoi bon ?

La soupe est bue
le poison absorbé sans complaisance
plus aucune cage pour l’enfant sauvage
plus aucune cage pour le demi-dieu
divinimmortel enfant du salut

tu me prends par la main
et tu m’emmènes loin d’ici
dans mes rêves les plus cruels.

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